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Cela donne un peu froid au dos !

Le problème est en tout cas assez sérieux pour susciter un réel débat chez les juristes pour savoir si oui ou non il faut reconnaître des droits aux robots. Alain Bensoussan, avocat au barreau de Paris et président de l’Association du droit des robots, argumente qu’un robot intelligent est constitutif d’un genre d’être nouveau, doué de responsabilité, et a donc droit à une personnalité juridique singulière Son collègue Nicolas Capt, avocat spécialisé en droit des nouvelles technologies, le contredit en affirmant que c’est une « dangereuse dérive de civilisation de considérer que c’est l’intelligence - ou plutôt l’autonomie décisionnelle et opérationnelle – qui fait l’être sensible ». « Ne mettons pas la vie où il n’y a que des machines, aussi perfectionnées soient-elles » écrit-il (Le Temps du 20 février 2016).

Pour moi, le facteur décisif est la conscience.

Si vraiment les robots devaient développer une conscience, c’est là que les vrais problèmes commenceraient à se poser. On n’en est pas encore là, mais dire tout de go que c’est impossible…