Et comme si cela n’était pas assez,
quand nous ressentons le stress
nous tendons à nous contraindre nous-mêmes
et ainsi à limiter
la liberté et la capacité de notre
respiration,
de notre mobilité
de notre pensée,
notre parler
et notre action.
Ceci n’est ni inspiré ni sain
pour nous et le monde.
Tout ceci commença par notre façon de
projeter notre volonté
sur notre expérience.
Soyons reconnaissants de pouvoir
repenser à tout ce scénario
et chosir à nouveau.
(10 février 2016 - avec permission)