Il se pourrait que la source de votre souffrance la plus enracinée soit de penser que vous ou un-e autre auriez dû faire mieux.
Prenez conscience de comment vous vous accrochez à cette question - comme avec des forceps, comme si votre vie en dépendait.
Le remarquez-vous ?
Je suggérerais que la santé et la sérénité de votre vie et de vos relations dépend en fait d’éjecter justement cette question.
Car cette croyance insensée n’a aucune base dans la réalité. Elle est comme de l’huile sur de l’eau fraiche dans l’authenticité de votre cœur.
Elle navigue à sa surface mais ne peux pénétrer ses profondeurs sacrées.
(Note du traducteur : cette question m’a poursuivie pendant près de 50 ans de ma vie et je travaille encore pour débarrasser mon esprit des résidus de sa présence)
Des participants à nos ateliers nous ont offert quelques témoignages touchants, à découvrir sur