Le blog
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Il y a exactement 30 ans (juillet 1984), j’ai donné à Sion un cours de perfectionnement pour les enseignants valaisans sur le thème de « Vivre autrement ». (C’est là qu’est née l’idée de mes stages lancés neuf ans plus tard.) Il fallait l’oser. Car c’était l’époque où la société de consommation enfonçait l’accélérateur jusqu’au plancher. C’était la deuxième voiture par famille, le troisième poste de télé, les vacances aux Seychelles où aux Bermudes … L’horizon de la consommation peint en rose s’élargissait pratiquement de jour en jour.
Pour moi, c’était pourtant évident que cette grande bamboula se casserait un jour la figure, pas seulement pour des raisons économiques, mais parce que « l’homme ne vivra pas de pain seulement ». Il délaissait les églises - ce que je comprends parfaitement - mais sans les remplacer par une nourriture de l’âme sans laquelle l’être humain finit pas se dessécher intérieurement.
Vivre autrement n’est pas seulement un impératif écologique incontournable, c’est une mesure de santé publique indispensable autant qu’une recherche de sens à la vie et d’une ouverture spirituelle sur d’autres horizons qui seuls nourrissent l’âme. C’est gérer son argent, son temps, ses achats, ses relations dans un autre esprit que celui d’une société qui fonce à tête baissée sans savoir même où elle va, sans avoir fait la moindre tentative pour définir des objectifs de société autres que la hausse matérielle du niveau de vie. Parmi ces objectifs, la dimension spirituelle me semble peut-être la plus importante de toutes, si on définit ce mot de façon large
comme la recherche d’un sens à la vie, la capacité d’émerveillement, la croissance de la compassion dans le quotidien le plus concret (pas seulement dans les retraites !) à savoir l’amour en action. (4 février)
NB :Cette spiritualité totalement ouverte sur la vie sera abordée dans notre stage »La spiritualité au-delà des religions » à Collex-Bossy près Genève, les 15-16 mars, à Porrentruy les 17-18 mai, à Lausanne les 4-5 octobre et Bruxelles les 11-12 octobre
Inscriptions sur notre site www.vivreautrement.ch et pour Bruxelles
www.tetra-asbl.be/index.php
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Quand j’étais gosse, un des pires péchés que je pouvais commettre était de laisser des empreintes sales sur le tapis du salon. Peut-être est-ce une des raisons pour lesquelles je me méfie de laisser mes empreintes électroniques un peu partout. On ne sait jamais ce que Big Brother pourra en faire.
Ainsi le Wall Street Journal révèle qu’Amazon vient d’obtenir un brevet dont l’objectif est des « envois anticipés » : avant même qu’un client ait commandé un produit, on va commencer le processus de livraison, ceci en vue de raccourcir le délai qui décourage certains d’acheter en ligne. Amazon se baserait sur ses commandes antérieures précédentes, ses recherches sur le net et surtout le temps que sa souris a passé sur un objet.
Dans le même ordre d’idées, un professeur de management américain, Donald Kluemper, révèle que l’on peut prédire les performances d’une personne plus précisément sur la base de ses pages Facebook qu’avec la plupart des tests de personnalité. Et un consultant de Microsoft, Michel Kosinski de l’Université de Cambridge (GB) a même construit un outil informatique qui peut livrer un portrait intime d’une personne en fonction de ses « like » sur le même Facebook. Selon l’intéressé, il serait possible d’étendre sa méthode à toutes nos empreintes numériques, grâce aux technologies Big Data capables de traiter des milliards de données en très peu de temps (comme le fait la fameuse NSA américaine).
Personnellement, vu que je voyage chaque année aux USA, j’ai commencé à faire attention aux intitulés de mes e-mails, sachant qu’ils sont peut-être lus par la NSA comme je milite en faveur d’un condamné à mort noir innocent du Texas depuis 17 ans.
Alors, si on commençait à vivre autrement, même sur internet ? (Le prochain blog sera consacré à la désintoxication numérique).
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Le grand statisticien français Alfred Sauvy avait coutume de dire à ses étudiants : « Les statistiques sont des êtres sensibles et délicats qui, soumis à la torture, livrent des aveux conformes aux désirs du bourreau. » La nouvelle technologie du « Quantified self » (Le soi quantifié) veut nous faire rentrer dans l’ère du « moi chiffré » où nous afficherons sur le Toile une nuée de données chiffrées qui soi-disant nous décrivent en statistiques.
Le podomètre Fitbit par exemple mesure la totalité des pas que vous faites par jour et combien d’étages cela ferait. La bonne « norme » est 10'000 pas, soit l’équivalent de 8 kms. ou 30 étages que l’Organisation Mondiale de la Santé considère comme désirable pour chacun Et on voit déjà poindre à l’horizon une nouvelle tyrannie des assurances maladies et de l’Etat qui détermineront des normes en fonction desquelles on décidera du surplus que vous devrez payez (ou des journées maladies qui ne seront pas compensées) parce que vous ne suivez pas les normes.
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Personne, mais absolument personne, ne sait ce qu’est vraiment « la » réalité. Toute vision du réel est une construction totalement subjective qui dépend de son éducation, d’un contexte culturel donné, du sexe, d’une certaine façon de sélectionner ce qu’on choisit de voir, de sa psychologie personnelle, de ses expériences de vie, etc. Si l’on est journaliste, il faut y ajouter les choix rédactionnels du journal qui dépendent eux-mêmes de contraintes politiques et financières et de tant d’autres facteurs qui couvriraient facilement une page.
Nous vivons dans un monde où la croyance dominante en milieu journalistique est que ce qui se « vend » ce sont avant tout les trois « S » sacro-saints : sport, sexe, scandale – et ce sont eux qui façonnent le monde médiatique dans lequel nous vivons. Ce sont eux que les médias dominants « vendent » au public.
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A la fin de mon livre Découvrir les vraies richesses, je raconte l’histoire de cette dame âgée mais combien alerte et vive qui est en train de rejeter dans l’océan des étoiles de mer qu’une grosse tempête a jetées par dizaines de milliers sur la plage. Passe un touriste qui lui demande : « Mais qu’est-ce que vous faites ? A quoi ça sert ? Il y en a des milliers et des milliers ». La dame se baisse, et avec un immense sourire et un éclair amusé dans les yeux, elle rejette une étoile de mer dans l’océan avec une énergie décuplée et dit au touriste : « Pour celui-là, cela fait toute la différence. »
Depuis 17 ans, je suis visiteur de prison bénévole à la prison de Champ Dollon à Genève. Un travail merveilleux et qui oblige surtout à une écoute sans aucun jugement – pas évident quand vous avez devant vous un violeur ou un meurtrier. Il y a quelques jours, je visite pour la première fois un détenu du Nigéria, Dani. Le « feeling » passe de suite. Il me raconte son histoire.
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C’est Wayne Dyer qui disait que l’on ne sait jamais assez pour être un pessimiste. J’irais plus loin en avançant que le pessimisme est proche d’une forme d’idiotie épistémologique. (L’épistémologie est la science du savoir). Un proverbe soufi dit : « L’optimisme vient de Dieu, le pessimisme est dans le cerveau de l’homme. » (Si le mot « Dieu » vous dérange, remplacez-le par « une vision et une énergie d’amour non conditionnées par la matérialité »).
Le dernier numéro de la revue Resurgence and Ecologist (GB) fait une liste de grandes avancées humaines décrites pendant longtemps (souvent des siècles, voire des millénaires) comme impossibles. On avait dit – entre autres – que la suppression de l’esclavage dans les colonies conduirait à un effondrement de l’économie. Jusqu’à récemment encore, les femmes n’avaient même pas le droit de vote. L’Etat du Wyoming fut en 1869 le premier au monde à l’introduire, plus d’un siècle avant la Suisse, l’Australie fut le premier pays en 1902, et la Norvège le premier pays européen en 1913 (Suisse 1971 !)
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Le Tiers Monde continue à être victime de spéculateurs de toutes les couleurs. Un des derniers exemples est celui du milliardaire Beny Steinmetz (BSG) dont la fortune fut initialement constituée grâce au commerce du diamant. Profitant des derniers jours de l’ancien dictateur de la Guinée, il a obtenu deux concessions dans ce pays pour le montant dérisoire (vu leur valeur intrinsèque) de $ 165 millions. Cet homme d’affaires – dont la fortune équivaut à six fois le budget de la Guinée – revendait 18 mois plus tard 51% de ses parts au géant brésilien Vale pour … 2,5 milliards de dollars!
L’objectif de ce blog n’est pas de dénoncer ce type d’affairisme – mais d’attirer l’attention des lecteurs sur le travail extraordinaire mené depuis plus de 40 ans par la Déclaration de Berne (DB), qui a non seulement fait connaître ce scandale à un large public mais a mené une enquête minutieuse sur la structure incroyablement complexe de cette entreprise multinationale (BSG) dirigée depuis Genève. La DB ajoute que «cette affaire illustre les ravages de l’opacité lorsque des entreprises s’en servent pour réaliser des profits gigantesques sur le dos des plus pauvres.»
Lire la suite : Noël: une idée de cadeau hors de l'ordinaire
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Le durcissement des attitudes populaires envers les immigrés m’a fait repenser au message qu’une centaine de prix Nobels ont lancé au monde lors du 100è anniversaire du Prix Nobel de la Paix, qui fut créé en 1901 et qui se terminait avec le titre de cet article. Ces éminents penseurs disaient notamment que « le plus grand danger que court la paix mondiale dans les années à venir ne découle pas d’actes irrationnels par des individus, mais des demandes légitimes des dépossédés de la planète. … Le temps est venu de nous détourner d’une recherche de sécurité unilatérale qui nous fait rechercher notre protection derrière les murs ».
Dans le monde où nous vivons, nous sommes tous responsables de tout envers tous. Cela n’est pas facile à accepter, encore moins de le vivre et de le traduire dans des actes politiques, économiques, commerciaux, éducatifs et autres. Pourtant, l’histoire nous montre que tant sur le plan personnel que collectif, il n’y a que deux façons de grandir : par la souffrance ou par la sagesse. Si la peur pousse les pays riches et les classes possédantes des pays en développement à continuer à monopoliser les privilèges ou à ne les partager qu’au compte-gouttes, c’est par la souffrance que tous apprendront. Si nous faisons du titre de ce blog une sorte de mantra collectif qui nous motive petit à petit dans toutes nos actions à tous les niveaux, nous avons encore les chances d’échapper à des ajustements beaucoup plus douloureux.
Mark Twain écrit dans Les Aventures du Passé, «Ils l’ont fait parce qu’ils ne savaient pas que c’était impossible». Alors il nous suffit de collectivement redéfinir le possible et de vouloir l’atteindre.
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Un article de vulgarisation remarquable de la députée au Conseil National Ada Marra (Vaud) dans Le Temps du 22 octobre nous rappelle que les banques semblent avoir hélas fort peu appris de la crise de 2008. Au cours de cette dernière, on se rappellera que vous et moi (via l’Etat fédéral) avons remis l’UBS sur les rails. Sans nous, la première banque de Suisse faisait faillite.
Ada Marra écrit que « les actifs d’UBS et Crédit Suisse font cinq fois le PIB de la Suisse. Si l’un des deux établissements venait à faire banqueroute, les impôts de la collectivité ne suffiraient pas à les sauver. Autrement dit, c’est la Suisse elle-même qui ferait faillite. » L’augmentation des fonds propres des banques constituerait une première mesure : elles devraient atteindre 20%, alors qu’elles sont au taux de … 2,3% actuellement ! Notre députée estime avec de nombreux spécialistes que les banques devraient revenir à leur rôle original : des prestataires de service pour la collectivité - épargnants privés (vous et moi) et entreprises.
Lire la suite : Système bancaire: l’implosion menace toujours
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Je rentre d’une conférence absolument exceptionnelle sur le pardon organisée par la communauté de Findhorn, la première communauté éco-spirituelle de la planète, fondée il y a 51 ans par Eileen et Peter Caddy et Dorothy MacLain
(voir : www.findhorn.org). Le niveau des intervenants était remarquable, l’engagement des participants total et le résultat fut dans la grande tradition des meilleures activités de ce centre célèbre dans le monde entier.
Depuis des décennies, on entend trop parler des côtés négatifs de l’Afrique – parfois exclusivement. Alors, ayant vécu plus de 11 ans sur ce superbe continent, il me plait à relever une coutume de l’Afrique noire qui existe depuis la nuit des temps et qui décrit une coutume (hélas en voie de disparition avec l’urbanisation ultra-rapide du continent) de laquelle nous aurions d’urgence besoin de prendre des leçons de civilisation. Cela se passe dans le domaine de la pratique de la justice. C’est cette pratique qui forma les bases de la fameuse commission Vérité et Réconciliation mise sur pied par Mandela après l’indépendance de ce pays si longtemps déchiré par une lutte dramatique.
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Mais en quoi tout cela me concerne-t-il ?
Cela nous concerne très directement car selon le niveau de conscience auquel je me situe, j’entraine toute l’humanité soit vers le bas, soit vers le haut. Et selon Hawkins, le niveau de conscience est mesurable. Une pensée au niveau 100 par exemple (la peur) se mesurerait en fractions de microwatts, l’amour, à 500, s’exprime par une quantité impressionnante de megawatts. Selon Hawkins, 15 pour cent de la population mondiale actuellement se situe au niveau critique de 200 (basculement du négatif au positif), mais elle peut parfaitement contrebalancer les 85 pour cent encore en-dessous de 200. Hawkins avance que « la différence entre une pensée d’amour et de peur est tellement énorme qu’elle dépasse la capacité de l’entendement humain de le comprendre… Même quelques pensées d’amour pendant la journée contrebalancent totalement toutes nos pensées négatives. » Cette simple observation est plus qu’encourageante.
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Ceci est une phrase que l’on entend et lit de plus en plus fréquemment dans le domaine du développement personnel et spirituel. Elle se réfère à une évidence à laquelle il est difficile d’échapper, à savoir la subjectivité fondamentale de notre expérience. Les événements et choses n’ont QUE la réalité que nous leur conférons. Absolument tout ce que nous voyons, percevons, entendons, ressentons n’a que la réalité que nous lui conférons. Dans mon petit ouvrage Vivre sa spiritualité au quotidien, je donne l’exemple extraordinaire de ce praticien spirituel (quelqu’un qui guérit par une approche purement spirituelle, même à de très grandes distances) qui transforme radicalement une bande de tueurs ethniques psychotiques venus massacrer toute sa famille pendant le génocide au Rwanda (1994), sans prononcer un mot à haute voix.
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Dans son récent livre sur l’histoire de la suppression de l’esclavage qui vient de paraître en anglais, Bury the Chains (Enterrez les chaînes), l’auteur anglo-saxon Adam Hochschild explique que le 18è siècle avait sa propre version de la globalisation sous forme de commerce des esclaves. Entre 1660 et 1807, les navires en partance pour le Nouveau Monde transportèrent trois fois plus de Noirs que d’Européens – et cela à destination des seules colonies anglaises en Amérique du Nord. Pour le commun des mortels, c’était la chose la plus naturelle au monde que ces pauvres païens - dont certains pensaient qu’ils n’avaient même pas une âme - soient asservis pour nous enrichir.
Pourtant, en 1787 douze individus se réunirent dans une imprimerie à Londres et décidèrent de mettre fin à l’esclavage. Et 20 ans plus tard, la couronne britannique abolissait une fois pour toute l’esclavage sur ses terres et ce dans ce monde sans téléphones, radios, télévision et tous les appareils modernes de télécommunication.
C’est absolument stupéfiant et c’est une source d’encouragement et de courage immenses pour tous ceux qui travaillent pour un monde qui marche pour tous. Si William Wilberforce, ce Quaker estropié et membre du parlement et ses camarades ont pu réaliser cela, que ne pouvons-nous faire dans ce monde d’internet aux communications planétaires instantanées - si nous le voulons. L’information bien utilisée est peut-être la force la plus puissante pour le changement du monde. A nous, «le peuple » de l’utiliser.
La balle est dans notre camp.
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Il y a 14 ans se produisit dans l’école de Colombine aux USA la tuerie la plus meurtrière ayant jamais eu lieu dans une école secondaire du pays. En fouillant dans mes papiers, je suis retombé sur ce qu’écrivait un des étudiants de l’école après le drame. A qui trouve ce diagnostic trop pessimiste, je dirais biffez ce qui ne vous parle pas et laissez-vous interroger par la dernière phrase qui s’adresse à nous tous.
« …nous avons des autoroutes plus larges, mais des points de vue plus étroits ; nous dépensons plus mais nous avons moins ; nous achetons plus mais en jouissons moins.
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Deux « faits divers » dans la semaine écoulée, mis ensemble, soulignent un point sur lequel je reviens constamment depuis le début de mes stages, il y a plus de 20 ans : nous sommes tous solidaires sur cette planète, il n’y a plus l’ombre d’un paradis privé nulle part.
La première information rapportée par le site d’Amnesty nous apprenait que les gardes côtiers grecs repoussent avec des méthodes brutales les « boat people » arrivant à travers la Turquie de pays parfois forts éloignés, démontant même les moteurs de bateaux qui partaient à la dérive, avec femmes et enfants qui souvent trouvaient ensuite la mort. On comprend la Grèce prise à la gorge d’une économie
qui est sur la corde très raide de la survie, mais est-ce une solution…?
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Le Temps publiait récemment un bref rapport d’une communication faite lors de la dernière réunion de TEDGlobal 2013 (ces réunions internationales qui permettent à des personnes ayant eu des expériences qui sortent de l’ordinaire de les présenter à un public toujours plus fasciné).
Salvatore Iaconesi a présenté l’impact extraordinaire qu’a eue sa mise sur internet (en open-source) de son expérience avec la médecine institutionnelle (dominante) par rapport à une tumeur cancéreuse du cerveau. L’écho mondial qu’il a reçu de personnes de tous les milieux –scientifiques, artistiques, médiatiques, etc – fut pour lui bouleversante. En effet, comme sans doute nombre de lecteurs de ce blog, Iaconesi avait compris que « le processus industriel que nous nommons médecine ne se penchait pas sur lui, mais sur une version réduite de lui où toute la complexité humaine avait été ôtée. Je n’étais plus qu’un mémo médical, une thérapie, des dosages, des données d’examens » raconte-t-il.
C’est pour cela que de plus en plus de personnes se tournent vers d’autres approches thérapeutiques, comme la « matrix energetics » de Richard Bartlett. Je viens de suivre à Londres un stage avec ce chercheur étonnant qui raconte des guérisons instantanées obtenues en se situant dans des univers parallèles, en remontant dans le temps (souvent juste avant la maladie ou l’accident),etc.
Les jours d’une médecine qui trop souvent réduit le patient à quelques données statistiques ou un « mémo médical » sont comptés.
P.S. Nous nous excusons de l’interruption temporaire des rubriques Blog, Positif et Désapprentissage dûe à un vol d’ordinateur.