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Dans un monde totalement interdépendant, il n’y a plus de solutions au problème des migrations (voir nos deux blogs précédents) à l’échelle suisse, ni même européenne. Nous ne pouvons plus que réfléchir à l’échelle mondiale. Depuis environ quarante ans, des organisations comme la Déclaration de Berne (…….) cherchent à nous éveiller à notre responsabilité dans l’aggravation des injustices à l’échelle planétaire tout en esquissant toujours des solutions – et il y en a toujours. Car comme le dit un merveilleux proverbe arabe, «Celui qui veut faire quelque chose trouve un moyen, celui qui ne veut rien faré trouve une excuse.»
a) D’abord, accepter notre responsabilité morale. Continuer à expulser, c’est de la non assistance à personnes en danger. Nous devons accepter que nous avons un « impôt moral » à payer à la collectivité mondiale, car nous lui devons une grande partie de notre prospérité.
b) Nous devrons commencer un effort de formation sans précédent des sans papiers qui arrivent chez nous. Nous en avons les moyens. Ils s’appellent Grippen (par exemple), des avions militaires totalement inutiles qui ne serviront jamais à rien. Puis chercher à réinsérer ces immigrés dans notre économie.
c) Mais nous ne pouvons le faire sans que les voisins ne commencent à faire de même, sinon les étrangers afflueraient chez nous en quantités incontrôlables. C’est donc vers une politique coordonnée européenne que nous devons nous orienter dans ce domaine.
« C’est de l’utopie pure ». Je les entends crier. Je voudrais suggérer que c’est le seul réalisme.
A long terme.